Perspectives d’emploi Infirmier auxiliaire diplômé/infirmière auxiliaire diplômée en Nouvelle-Écosse

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’infirmier auxiliaire diplômé/infirmière auxiliaire diplômée en Nouvelle-Écosse ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Nouvelle-Écosse

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront très bonnes pour les infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires (CNP 32101) en Nouvelle-Écosse pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession
• le roulement élevé de personnel dans cette profession pourrait entraîner des possibilités d'emploi supplémentaires
• les diplômés récents des programmes de formation en lien avec cette profession se trouvent facilement du travail

Il s'agit d'un groupe professionnel important et des possibilités d'emploi se présentent fréquemment, à mesure que les travailleurs changent de poste. La demande de travailleurs de la santé a été particulièrement forte au cours des dernières années. Le travail peut être difficile physiquement et suppose souvent des heures irrégulières ou du travail par quarts, ce qui peut contribuer à un certain roulement de personnel. Étant donné les budgets restreints. De plus, le nouveau programme de transition du Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse permet aux préposés aux soins continus de renforcer leurs compétences pour devenir infirmiers auxiliaires.

Même si les hôpitaux emploient un grand nombre d'infirmiers auxiliaires, les possibilités d'emploi sont devenues plus nombreuses dans les foyers pour personnes âgées ainsi que chez les fournisseurs de soins à domicile, et ce, puisque le système de soins de santé se tourne vers d'autres méthodes pour offrir des soins aux personnes atteintes de maladies chroniques et de maladies invalidantes. Les chercheurs d'emplois devraient avoir peu de difficulté à trouver du travail.

Voici quelques faits saillants au sujet des infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires en Nouvelle-Écosse :

• environ 3 100 personnes occupent un poste dans cette profession
• les infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • hôpitaux (SCIAN 622) : 49 %
  • établissements de soins infirmiers et de soins pour bénéficiaires internes (SCIAN 623) : 38 %
  • services de soins de santé ambulatoires (SCIAN 621) : 11 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 78 % par rapport à 82 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 22 % par rapport à 18 % dans toutes les professions
• 76 % des infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires travaillent toute l'année tandis que 24 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 62 % et 38 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 46 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• moins de 5 % des infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires sont des travailleurs autonomes, par rapport à 11 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 6 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 94 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : moins de 5 % par rapport à 27 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 10 % par rapport à 12 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 75 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 11 % par rapport à 20 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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