Perspectives d’emploi Superviseur/superviseure d'horairistes de trajets à l’Île-du-Prince-Édouard
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Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de superviseur/superviseure d'horairistes de trajets à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Modérées

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les superviseurs/superviseures du personnel de coordination de la chaîne d'approvisionnement, du suivi et des horaires (CNP 12013) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

  • la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
  • un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
  • un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

La croissance de l'emploi pour ce groupe professionnel dépend principalement des tendances touchant l'emploi dans les industries de la fabrication, du commerce de gros et de détail, et du transport et de l'entreposage. Lorsque l'économie se porte bien, la circulation des marchandises est plus importante, appuyant ainsi le besoin en travailleurs dans les domaines de l'approvisionnement et de la logistique. L'économie de l'île devrait croître à un rythme respectable au cours de la période de prévision, ce qui devrait être favorable à une croissance de l'emploi dans cette profession. On s'attend en effet à ce que les taux d'intérêt continuent de baisser, ce qui encouragera les dépenses de consommation et les investissements des entreprises.


Pour les postes liés à l'enregistrement, les percées technologiques, comme les logiciels intelligents qui mettent automatiquement à jour les registres et permettent d'effectuer un suivi de l'inventaire, peuvent réduire la nécessité d'avoir des superviseurs puisqu'ils font en sorte que les entreprises ne nécessitent qu'un petit nombre d'employés de soutien. Les superviseurs ayant plusieurs années d'expérience connexe et qui connaissent bien les pratiques de gestion des approvisionnements et les applications pourraient avoir de meilleures perspectives d'emploi.

Voici quelques faits saillants au sujet des superviseurs/superviseures du personnel de coordination de la chaîne d'approvisionnement, du suivi et des horaires à l'Île-du-Prince-Édouard :

  • environ 100 personnes occupaient un poste dans cette profession en mai 2021
  • les superviseurs/superviseures du personnel de coordination de la chaîne d'approvisionnement, du suivi et des horaires travaillent principalement dans les industries suivantes :
    • autre transport et entreposage (SCIAN 482, 483, 486, 487, 493) : 30 %
    • fabrication d'aliments, de boissons et de produits du tabac (SCIAN 311, 312) : 28 %
    • autres magasins de détail (SCIAN 44-45, à l'exception de 445) : 22 %
    • commerce de gros (SCIAN 41) : 16 %
  • leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
    • travail à temps plein : 88 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
    • travail à temps partiel : 13 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
  • 81 % des superviseurs/superviseures du personnel de coordination de la chaîne d'approvisionnement, du suivi et des horaires travaillent toute l'année tandis que 19 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 49 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
  • leur répartition selon le sexe est :
    • hommes : 88 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
    • femmes : 12 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
  • le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
    • pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
    • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 50 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
    • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : n.d.
    • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 11 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
    • baccalauréat : 11 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
    • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : n.d.

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